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Impact de la compression du 4ème ventricule sur les symptômes du stress chronique

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Charles Buclon

Impact de la compression du 4ème ventricule
sur les symptômes du stress chronique                         

Écrire à Charles Buclon emailButton Télécharger le texte complet pdf_button
Mémoire en vue de l’obtention du Diplôme d'ostéopathe
Sous la direction de A. Fourny DO
Ecole d'Ostéopathie de Paris
Promotion juin 2025

Résumé

Résumé

Titre : Effets d’une technique CV4 sur le stress chronique
Introduction : Le stress chronique est une problématique de santé publique aux répercussions physiologiques et psychologiques importantes. L’ostéopathie, par son approche manuelle, pourrait offrir une prise en charge complémentaire. Parmi les techniques ostéopathiques, le CV4 (Compression du Quatrième Ventricule) est réputé pour son effet relaxant et son impact potentiel sur le système nerveux autonome.
Objectifs : L’objectif de cette étude est d’évaluer les effets d’une unique technique CV4 par rapport à une consultation classique sur le stress chronique à travers des paramètres objectifs et subjectifs
Méthodologie : Douze participants ont été répartis en deux groupes : un groupe recevant la technique CV4 et un autre une séance ostéopathique classique dite BlackBox sur deux séances séparées de deux semaines. Chaque participant a rempli trois fois un Perceived Stress Scale (PSS) sur un mois permettant de mesurer l’évolution de son stress ressenti. La tension artérielle (systolique et diastolique) et le rythme cardiaque ont été mesurés à deux reprises lors de chaque séance. Les résultats ont été analysés statistiquement à l’aide du logiciel Jamovi.
Résultats : Les analyses comparatives entre les groupes et dans le temps permettent de montrer que les deux techniques ont des résultats relativement similaires sur la diminution du stress chronique, en effet le CV4 entraine une réduction de 4,4 points sur les résultats du PSS entre la session 1 et la session 3 tandis que le traitement BlackBox entraine une réduction de 4,2 points entre la session 1 et 3 ce qui semblerai impliquer que la technique CV4 seule à autant d’impact qu’une séance classique complète.
Conclusion : Malgré un manque de participants qui limite la significativité des résultats, ces derniers montrent une certaine efficacité du CV4 dans la prise en charge du stress chronique. Cette étude s’inscrit donc dans la continuité des études présentant le CV4 comme un outil thérapeutique intéressant dans le traitement du stress chronique.
Mots clefs : CV4, ostéopathie crânienne, Stress chronique, étude comparative

Abstract

Title : Effects of a CV4 Technique on Chronic Stress
Chronic stress represents a major public health concern, with well-documented physiological and psychological ramifications. As a manual therapy, osteopathy may serve as a valuable complementary approach for such conditions. Among those techniques, the Compression of the Fourth Ventricle (CV4) is well known for its calming properties and its alleged modulation of the autonomic nervous system.
This comparative randomised study seeks to investigate the effects of a single CV4 technique compared to a standard osteopathic session on individuals experiencing chronic stress. Both subjective and objective indicators were used to assess outcomes. Twelve participants were randomly assigned to two groups : the first received the CV4 technique, while the second underwent a conventional osteopathic consultation, referred to as the “BlackBox” approach. Each participant attended two sessions spaced two weeks apart.
Throughout the study, participants completed the Perceived Stress Scale (PSS) at three distinct points over the course of a month, which enabled the tracking of the evolution of self-reported stress levels. Additionally, systolic and diastolic blood pressure, as well as heart rate, were measured twice during each session, one time beforehand and the other after. All collected data were analyzed using the statistical software Jamovi.
The results revealed a comparable reduction in chronic stress levels across both groups, indicating that a single CV4 session may exert effects equivalent to those of a full osteopathic consultation. Despite a lack of participants which could impede the significance of the results, they could contribute as objective evidence to the growing body of literature on osteopathy and support the potential of the CV4 technique as a relevant therapeutic tool in stress management.
Keywords : CV4, Cranial osteopathy, chronic stress, comparative thesis

Introduction

Introduction

  1. Contexte

    1. Définition

Le stress est défini par l’OMS comme un état d’inquiétude ou de tension mentale causé par une situation difficile (2). C’est un phénomène naturel de la vie quotidienne qui fut déterminé pour la première fois par Hans Selye en 1936 comme « la réponse de l’organisme à toute sollicitation qui lui est fait » (3). Depuis, la conceptualisation de ce dernier a évolué, en prenant en compte la variabilité interindividuelle, relevant du patrimoine génétique et de l’histoire personnelle afin de le définir comme « Le déséquilibre entre les sollicitations faites à l’individu et les ressources dont il dispose pour les affronter » (4).

Le stress est donc une réponse automatique à un stimulus, qu’il soit externe ou interne, excitant ou menaçant qui entraine des changements complexes dans le système biologique (5). Dans la compréhension du processus, 3 notions sont importantes à définir (6) :

  • Les Stresseurs : Ce sont les conditions ou les événements extérieurs ou intérieurs qui vont causer un état de stress évalué par le système cognitif comme contraignant.
  • Le stress aigu : réponse physiologique du corps face à un stresseur.
  • Le stress chronique : Lorsqu’une personne est exposée à un événement stressant pendant une longue période

Si le stress aigu est une réponse normale du corps à un événement de la vie quotidienne ; il devient une problématique quand il devient chronique. Il s’avère que ce dernier est devenu depuis quelques années une problématique de santé publique, touchant près de 9 français sur 10 au cours de leur vie. Les femmes semblent plus touchées que les hommes, en effet, 68 % se disent stressées contre 38 % des hommes. Les jeunes entre 25 et 34 ans se disent également plus touchés, 57 % se disant être soumis à un stress chronique (7).

Cet impact sur la population active présente un coût social estimé entre 2 et 3 milliards d’Euros par an en France selon l’INRS. Ce coût comprenant les dépenses liées directement ou indirectement aux soins, mais aussi l’absentéisme au travail ou la gestion des nombreuses

comorbidités et accidents liés au stress. Nous sommes donc face à une véritable problématique de société qui ne fait que s’aggraver.

    1. Mécanismes du stress

      1. Réponse physiologique au stress aigu

En présence d’un stresseur, qu’il soit externe ou interne, plusieurs réponses physiologiques sont mises en place par le corps. Tout d’abord, le complexe amygdalien (une région du cerveau gérant les intégrations émotionnelles), en interaction avec le Locus Coeruleus (situé dans le tronc cérébral) vont entrainer l’activation du cortex préfrontal (qui va conscientiser les informations reçues comme potentiellement stressantes) et l’hippocampe (structure cérébrale intervenant dans la mémoire des expériences déjà vécues) expliquant la dimension individuelle de la réponse au stress (8).

Dans ce qui est appelé la phase d’alarme, ou la réponse immédiate au stress, la stimulation de ces deux structures entraine une activation du système nerveux sympathique et une libération rapide de catécholamines, ainsi que de CRH (Corticotropin Realeasing Hormone). Ces dernières agissent dans les secondes ou minutes après l’arrivée du stresseur (9).

La CRH conduit à la synthèse et la libération d’adrénaline et de noradrénaline par la médullaire des glandes surrénales, qui sont des hormones permettant d’augmenter la vasoconstriction, le rythme cardiaque, la dilatation des bronches et qui favorisent la libération du glucose dans le sang pour fournir de l’énergie aux muscles afin de pouvoir provoquer une réponse de type « Fight or Flight » pour répondre au stresseur.

La CRH est synthétisé dans l’hypothalamus conjointement à l’AVP (Arginine Vasopressine) et vont être dirigés jusqu’à l’hypophyse pour conduire à une libération d’Adrénocorticotrophine (ACTH) dans le sang. Cette hormone, dans un second temps, va stimuler la synthèse et la libération des hormones glucocorticoïdes, notamment l’hormone dite « du stress », le cortisol à partir de la corticosurrénale (10).

Dans un stress aigu, un rétrocontrôle négatif se met en place lors de la production de cortisol pour signaler à l’axe HHS de réduire la production de CRH et d’ACTH pour qu’à terme la production de cortisol s’éteigne et que cela ne cause pas de dommages au corps.

Cependant, lorsque le stresseur persiste, l’organisme essaye de maintenir l’homéostasie pour s’adapter au maximum. Durant cette phase, l’activation de l’axe hypothalamo-hypophysaire – surrénalien continue, ainsi que celle de CRH et d’ACTH et donc de cortisol.

Sa production s’élève pour faire face aux besoins énergétiques de l’organisme en augmentant la néoglucogenèse du foie, et en mobilisant les réserves énergétiques du corps en augmentant le catabolisme des protéines et des lipides pour les diriger vers les muscles et le cerveau.

Il va venir également inhiber transitoirement les fonctions de digestion, de croissance et de reproduction trop coûteuses en énergie. Dans la même logique il va venir également réguler la réponse inflammatoire (11). Le système nerveux sympathique reste activé mais la libération des catécholamines diminue par rapport à la phase d’alarme. Enfin, l’aldostérone qui permet de maintenir l’équilibre hydrique et la pression artérielle et les hormones thyroïdiennes qui régulent le métabolisme sont également sollicité (12). Si le stresseur persiste trop longtemps et que l’organisme ne parvient plus à s’adapter, cela peut conduire à une détérioration des ressources énergétiques et à une défaillance de plusieurs système physiologiques, menant à la phase d’épuisement que l’on considère alors comme du stress chronique.

      1. Le stress chronique

Le stress chronique peut être définit comme les situations ou la permanence des stresseurs empêche la récupération et le retour à l’équilibre du corps, ce qui va impliquer des changements physiologiques qui vont se révéler dans les jours, semaines voire années suivantes. Cet état, qu’on appelle aussi la phase d’épuisement est le plus souvent associées à une sécrétion excessive et continue de cortisol provoquant l’altération des fonctions cérébrales, en partie car les neurones hippocampiques sont particulièrement sensibles au cortisol, or ce dernier exerce un rétrocontrôle sur l’axe HHS (13), en temps normal il envoie un signal à l’hypothalamus et l’hypophyse pour réduire la sécrétion de CRH et d’ACTH ce qui désactive l’axe. En l’absence de ce rétrocontrôle, on assiste à un cercle vicieux qui peut conduire à plusieurs pathologies (14).

  • Désensibilisation des récepteurs au cortisol
  • Atrophie de l’hippocampe, qui joue un rôle clé dans l’apprentissage, la mémoire et la régulation de l’axe HHS.
  • Augmentation de la production de CRH

Table des matières

Table des matières

INTRODUCTION

I. Contexte

1.1 Définition
1.2 Mécanismes du stress

1.2.1 Réponse physiologique au stress aigu
1.2.2 Le stress chronique

II. Revue de littérature et état des connaissances

II.1 Traitement du Stress Chronique
II.2 Ostéopathie et stress chronique
II.3 La compression du quatrième Ventricule

II.3.1 Historique et déroulement de la technique
II.3.1 Contre-indications
II.3.2 Indications

II.4 Anatomie et physiologie

II.4.1 Ostéopathie et Système nerveux
II.4.2 Le LCR en ostéopathie

II.5 Problématique

II.5.1 Hypothèses
II.5.2 Objectifs de l’étude
II.5.3 Importance de l’étude

III. Méthodologie

III.1 Conception de l’étude
III.2 Participants

III.2.1 Critères d’inclusion et d’exclusion
III.2.2 Randomisation et assignation des groupes
III.2.3 Considération éthiques et Règles de protection des données

III.3 Critères de jugement

III.3.1 Critères de jugement primaires
III.3.2 Critères de jugement secondaires
III.4 Matériel et Équipement
III.5 Procédure Expérimentale

III.5.1 Intervention ostéopathique
III.5.2 Mesures de Résultats
III.5.3 Collectes de données

III.6 Analyses de données

IV. Résultats

IV.1 Description des participants
IV.2 Principaux résultats

IV.2.1 Résultats PSS
IV.2.2 Résultats tension artérielle
IV.2.3 Résultats Rythme Cardiaque

IV.3 Analyses Statistiques

IV.3.1 Analyse PSS
IV.3.2 Analyses de la tension artérielle
IV.3.3 Analyse du rythme cardiaque

IV.4 Diagramme de Flux

IV.5 Observations clefs

V. Discussion

V.1 Interprétation des résultats

V.1.1 Interprétation de l’évolution du PSS
V.1.2 Interprétation de l’évolution de la Tension artérielle
V.1.3 Interprétation de l’évolution du RC
V.1.4 Discussion

V.2 Implications pratiques

V.3 Validité des résultats et limitations de l’étude

V.3.1 Validité interne
V.3.2 Validité externe

V.4 Recherches futures

CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
TABLE DES TABLEAUX
ANNEXE 1
ANNEXE 2
ANNEXE 3
ANNEXE 4
ANNEXE 5
ANNEXE 6

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